Etude portant sur la différence entre le yaourt et le yoghurt
Tout d'abord, sachons que les deux termes "yoghourt" et "yaourt" sont reconnus par la législation européenne et ne recouvrent aucune distinction. Il s’agit du même produit caractérisé par la nature particulière de ses ferments.
Deux ferments uniques
Pour pouvoir s’appeler yaourt, le lait fermenté doit impérativement contenir deux souches de ferments caractéristiques : Lactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus. Et uniquement celles là.
Ces bactéries doivent demeurer vivantes jusqu'au dernier jour de la DLC (Date Limite de Consommation).
Du moment qu’il répond à ces critères, le yaourt peut prétendre à son appellation « yaourt ».
Il peut aussi être enrichi d'ingrédients non laitiers (sucre, fruits, miel, arômes, petits morceaux de gâteau...), autorisés par la législation et dans une proportion qui ne doit pas dépasser 30% du poids total du yaourt. L'addition de stabilisateurs, hormis certains conservateurs des fruits, est interdite.
Par ailleurs, quand il existe d'autres ferments comme le bifidus ou l'acidophilus, il ne s'agit plus d'un yaourt mais d'un lait fermenté. C'est le cas de Bio et Actimel de Danone, de BA de Lactalis, et d'autres laits fermentés de distributeurs. Pour l'instant, les spécialistes restent réservés sur les prétendus "bénéfices santé" des ferments ajoutés.
Enfin, tout ce qui n'est pas "yaourt" ou "lait fermenté" est rangé dans la catégorie un peu fourre-tout des spécialités laitières. C'est le cas des allégés auxquels on a ajouté, parce qu'ils sont pauvres en matière grasse, de la gélatine ou de l'amidon. pour leur donner plus de consistance.
Après plusieurs années d'enquête active aux quatre coins du globe, financées sur la fortune personnelle et colossale de la famille Von Stropovitch, il semblerait donc en fait que les mots "yaourt" ou "yoghourt", d'origine grecque et turcque, soient apparus dans le Petit Larousse en 1925. Aujourd'hui, les méthodes de fabrication et les variétés se sont tellement diversifiées que le législateur s'est vu obligé de définir précisément l'appellation "yaourt".
Deux ferments uniques
Pour pouvoir s’appeler yaourt, le lait fermenté doit impérativement contenir deux souches de ferments caractéristiques : Lactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus. Et uniquement celles là.
Ces bactéries doivent demeurer vivantes jusqu'au dernier jour de la DLC (Date Limite de Consommation).
Du moment qu’il répond à ces critères, le yaourt peut prétendre à son appellation « yaourt ».
Il peut aussi être enrichi d'ingrédients non laitiers (sucre, fruits, miel, arômes, petits morceaux de gâteau...), autorisés par la législation et dans une proportion qui ne doit pas dépasser 30% du poids total du yaourt. L'addition de stabilisateurs, hormis certains conservateurs des fruits, est interdite.
Par ailleurs, quand il existe d'autres ferments comme le bifidus ou l'acidophilus, il ne s'agit plus d'un yaourt mais d'un lait fermenté. C'est le cas de Bio et Actimel de Danone, de BA de Lactalis, et d'autres laits fermentés de distributeurs. Pour l'instant, les spécialistes restent réservés sur les prétendus "bénéfices santé" des ferments ajoutés.
Enfin, tout ce qui n'est pas "yaourt" ou "lait fermenté" est rangé dans la catégorie un peu fourre-tout des spécialités laitières. C'est le cas des allégés auxquels on a ajouté, parce qu'ils sont pauvres en matière grasse, de la gélatine ou de l'amidon. pour leur donner plus de consistance.
Après plusieurs années d'enquête active aux quatre coins du globe, financées sur la fortune personnelle et colossale de la famille Von Stropovitch, il semblerait donc en fait que les mots "yaourt" ou "yoghourt", d'origine grecque et turcque, soient apparus dans le Petit Larousse en 1925. Aujourd'hui, les méthodes de fabrication et les variétés se sont tellement diversifiées que le législateur s'est vu obligé de définir précisément l'appellation "yaourt".